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Sous la direction de Pascal Cojean |
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Le crime, objet de déviance de toute société, est plus que jamais présent dans l'esprit de tout à chacun. Si des philosophes tels qu'Aristote et Platon se sont déjà intéressés à ce phénomène, il n'en demeure pas moins qu'il est des plus mis en avant, et ce de par le fait des divers médias aussi nombreux que variés. S'il est l'objet d'un rejet, de dégoût de la majorité, il n'en demeure pas moins un objet de fascination, d'interrogation pour une minorité, de fait intervient la criminologie ou bien encore la science criminelle. Au contraire du droit ou de la médecine, la criminologie, surtout dans ses aspects sociologiques, est une discipline relativement jeune et possède malgré tout une histoire troublée. La problématique qui s'offre à nous se pose sur un plan purement théorique. Ainsi, ce qu'il faut faire dans un premier temps est de défricher le terrain d'études en définissant les contours d'une étude sur les théories, et donc une étude plus historique qu'empirique, à savoir comment s'est formé ce courant qui se constitue de divers auteurs et de divers opinions. La criminologie est une science qui est née d'une révolte, il faut le savoir, et elle s'est constituée en opposition à la fois contre la science pénale traditionnelle (basée sur l'infraction) et contre la réaction classique (une conception rétributive de la peine-châtiment). Ce sujet sera exploré et mis de l'avant dans ce numéro thématique.
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Le pourquoi d'un numéro sur la criminologie
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Les positivistes italiens et leurs successeurs: le substantialisme, passé et présent
Profilage criminel: petit historique
Champs de pratique de la criminologie clinique au Québec
De la psycho-criminologie au profilage
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